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Par guy63 le 2 Septembre 2010 à 16:12
Baron est un titre de noblesse.
L'étymologie de ce mot est douteuse : baron serait dérivé du vieil allemand bar qui signifie libre par extension homme libre ou selon d'autres auteurs, du latin vir qui signifie homme. Il a été avancé récemment que le mot baro signifiant celui qui frappe et qui tue viendrait de l'allemand Bär (ours).
Dans la hiérarchie moderne des titres de noblesse, baron est un titre inférieur à celui de vicomte, mais supérieur à celui de chevalier. La femme d'un baron porte le titre de baronne.
Au Moyen Âge, le terme barons désigne tous les membres de la haute aristocratie, qui tiennent directement leur fief du roi. Les Montmorency se qualifiaient de premiers barons de France, de premiers barons chrétiens. Les barons de cette époque sont parmi les plus vieilles familles de France. De ce fait, les fiefs de chevalier se trouvant dans les comtés ont pris le nom de baronnie. Les seigneurs des baronnies n'ont que tardivement porté le titre de baron.
À partir du XVIe siècle, le titre de baron est intégré à la hiérarchie nobiliaire, en étant le septième degré sur dix, il s'applique alors individuellement au détriment de « sire de... » ou de « seigneur de... ».
En France, le titre de baron était jusqu'à la Révolution attaché à un type de fief qui a été érigé en baronnie. En Bretagne, les ducs érigèrent neuf baronnies à l'imitation des neufs évêchés du duché.
À partir de Napoléon, le titre fut accordé de façon héréditaire sans plus de considérations féodales, de même que les autres titres, sauf celui de marquis.
Sources : Wikipédia
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Par guy63 le 2 Septembre 2010 à 16:12
Une baronnie est en premier lieu le titre du fief d'un baron.
En France, ce titre qui était tombé en désuétude, et aucune terre n'a été érigée en baronnie après le XVIe siècle, a été remis à la mode au début du XVIIIe siècle par les romans de chevalerie.
On désignait à l'origine (à partir du Xe siècle) par barons l'ensemble des seigneurs tenant leurs fiefs d'un roi ou de grands princes féodaux tels le duc de Normandie en France, le duc d'York en Angleterre ou le comte de Flandre (France, Belgique). D'où l'expression encore usitée de « grands barons » pour désigner des hommes politiques influents ou des décideurs économiques de haut rang.
Toujours employé au pluriel, il n'existait pas avant le XIVe siècle, de « baron » portant ce titre en particulier. On lui préférait dans l'usage les titres de « seigneur de... » ou « sire de... » (traduit par le latin dominus). Au féminin, on disait « dame de... » (domina) pour désigner la détentrice d'une baronnie. Les sires et dames de Bourbon possédaient une importante baronnie devenue en 1317 le duché de Bourbonnais.
Comme un baron désigne usuellement les seigneurs qui, au Moyen-Âge, relevaient directement du roi, on désigne souvent à partir de la fin du XVIIe siècle comme baronnie des fiefs dont les titulaires ont porté leur hommage dans les mains du roi ou de son représentant.
C'est souvent par abus de langage, et très tardivement (fin XVIIIe siècle et XIXe siècle), qu'on utilise le terme de baronnie pour désigner des fiefs qui, au sud de la Loire, ne portent jamais d'autre titre que celui de châtellenie, désignant par là des fiefs qui relèvent directement du comte ou du vicomte, et dont ressortent plusieurs autres fiefs.
Les terres de barons ont porté dès le XIe siècle le titre de baronnie. Ces baronnies formaient une sorte de premier degré de subdivision féodale des duchés et des comtés. Lors de la constitution de la hiérarchie féodale militaire s'appuyant sur le morcellement des fiefs et des pouvoirs régaliens, la création vers l'an Mil des baronnies a constitué une étape importante. Dans les principautés féodales (duchés, comtés, marches), les plus importants seigneurs (ou barons) se sont à leur tour constitué une clientèle féodale de petits seigneurs locaux. Le Livre de Jost cite : « Duc est la première dignité, et puis comte, et puis vicomte, et puis baron, et puis châtelain, et puis vavasseur, et puis citaen [citadin], et puis vilain ».
Un château (tour forte, avec motte et basse-cour) était généralement le siège d'une baronnie. Dans le duché de France (Domaine royal), baronnie est synonyme de châtellenie.
En France, les baronnies étaient de deux types : la plupart étaient tenues par des membres de l'aristocratie militaire (les chevaliers) ; mais un petit nombre appartenait à des évêques ou des abbés en propre, à cause de leur fonction ecclésiale.
La plupart des baronnies ou châtellenies françaises étaient des ressorts de haute justice.
En Normandie, les plus importantes baronnies devaient fournir 10 chevaliers pour l'ost du duc, ou parfois 5 seulement. C'étaient d'importants fiefs tenus directement du duc, mais leur territoire était volontairement dispersé : un noyau constitué d'un château, un domaine, parfois une forêt, et une trentaine ou quarantaine de fiefs vassaux éparpillés à distance.
Avec l'inflation des titres nobiliaires sous l'ancien Régime, le titre de baron a souvent été remplacé par celui de comte ou de marquis. Les grands fiefs constitués par des petits seigneurs locaux ont souvent été érigés en baronnies au XVIe siècle ou au XVIIe siècle. Les baronnies, regroupées par héritage, ont été quant à elles érigées dès le XVIe siècle en comtés, marquisats et parfois duchés.
Aucun titre de baron français créé au XIXe siècle ne correspond à une baronnie, ce titre de terre ayant été supprimé en 1789.
Sources : Wikipédia
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Par guy63 le 2 Septembre 2010 à 16:12
Le seigneur peut juger les affaires relatives aux droits dus au seigneur, cens, rentes, exhibitions de contrats et héritages sur son domaine. Il s'occupe aussi des délits et amendes de faibles valeurs (dégâts des bêtes, injures, amendes inférieures à 7 sols 6 deniers). Il doit posséder sergent et prison afin d'y enfermer tout délinquant avant de le mener au haut justicier.
Sources : Wikipédia
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Par guy63 le 2 Septembre 2010 à 16:12
- Augerolles (Eglise)
- Augerolles (Entrée du bourg)
- Courpière (Eglise)
- Courpière (Place de l'église)
- Courpière (Place de l'église)
- Courpière (Place de l'église et vieille maison du XII° siècle)
- Courpière (Place du Poids de Ville)
- Courpière (Tour du Maure)
- Bertignat (Entrée route de Vertolaye)
- Bertignat (La place)
- Bertignat (La Vierge)
- Bertignat (Les Gorges de Carcasse)
- Bertignat (Place de l'église)
- Bertignat (Place de l'église, autre angle)
- Bertignat (Village de la Goutte)
- Bertignat (Vue générale)
- Clermont Ferrand (Caserne d'Assas)
- Clermont Ferrand (Cours Sablon)
- Clermont Ferrand (Eglise N.D. du Port)
- Clermont Ferrand (Eglise St Joseph)
- Clermont Ferrand (Fontaine pétrifiante- La bourrée)
- Clermont Ferrand (Le théâtre)
- Clermont Ferrand (Les Gravanches)
- Clermont Ferrand (Lycée Blaise Pascal)
- Clermont Ferrand (Montferrand, le portail de l'Eglise)
- Clermont Ferrand (Montferrand, maison du sire de Beaujeu)
- Clermont Ferrand (Monument de Vercingétorix)
- Clermont Ferrand (Place de Jaude)
- Clermont Ferrand (Place de Jaude)
- Clermont Ferrand (Place de Jaude)
- Clermont Ferrand (Place des Salins et Avenue de Beaumont un jour de foire)
- Clermont Ferrand (Place Gaillard)
- Clermont Ferrand (Place Gilbert Gaillard)
- Clermont Ferrand (Quartier Desaix 36ème d'artillerie)
- Clermont Ferrand (Rue Balinvilliers)
- Clermont Ferrand (Rues Neuve et Saint Louis)
- Clermont Ferrand (Vercingétorix)
- Clermont Ferrand (Vue générale)
- Clermont Ferrand (Vue générale)
- Clermont Ferrand (Vue panoramique de la Place du Jaude)
- Lac Pavin
- Olliergues (Rue du Pont)
- Olliergues (Vue générale)
- Pierre sur Haute (Buron)
- Puy de Dôme (Sommet du Puy-de-Dôme et la route automobile vue d'avion)
- Saint Nectaire (Dolmen)
- Saint Nectaire (Vue générale et l'église)
- Thiers
- Thiers (Coutellerie - Les forgerons)
- Thiers (Creux de l'Enfer)
- Thiers (Maison de François 1er)
- Thiers (Moutier - Le Château)
- Thiers (Pont du Moutier)
- Thiers (Pont et la chapelle Saint Roch)
- Thiers (Sciage et façonnage des manches de couteaux)
- Thiers (Usine de coutellerie - Les Emouleurs)
- Thiers (Viaduc du Grand Tournant au Bout du Monde)