La Couzon est une rivière française qui coule dans le département du Puy-de-Dôme (63), en région d'Auvergne. C'est un affluent de la Dore en rive gauche, donc un sous-affluent de la Loire par la Dore puis l' Allier.

Le Couzon naît à la limite entre les territoires de Noirétable (département de la Loire) et de La Renaudie (département du Puy-de-Dôme), dans une zone fort boisée des monts du Forez, sur le versant occidental du mont Vimont (1348 mètres). Peu après sa naissance, elle s'engage définitivement dans le Puy-de-Dôme. Son orientation générale va de l'est vers l'ouest. Elle se jette dans la Dore (rive droite) sur le territoire de la commune de Courpière, pittoresque localité située au confluent des deux cours d'eau, et située à une douzaine de kilomètres au sud (en amont) de Thiers.

Le Couzon traverse ou longe les communes suivantes :

• département de la Loire : Noirétable

• département du Puy-de-Dôme : La Renaudie, Vollore-Montagne, Vollore-Ville, Aubusson-d'Auvergne, Augerolles et Courpière.

Sources : Wikipédia

• 1554 Jean Coutel

• 1557 Jacques-Paul Spifame

• 1557 de SAINT-POL

• 1563 Michel Quélin, Gabriel Myron

• 1570 François de Scépeaulx

• 1578 Jean de Bulhon

• 1583 de Chastelliers

• 1583 des Roches

• 1583 de La Palisse

• 1590 Guillaume de Lamire

• 1590 Méry de Vic

• 1597 de La Bastide

• 1597 Delorme

• 1598 de Bragelongne

• 1598 Durand de Villedragon

• 1602 Louis Lefevre de Caumartin

• 1603 Fayet

• 1607 Jacques Mérault

• 1611 Jean de Génicourt

• 1612 Robert Aubery

• 1616 Legay

• 1618 François Thévin

• 1633 René de Voyer de Paulmy d'Argenson 1596-1651

• 1635-1638 De Mesgrigny

• 1638-1644 Jacques de Chaulnes

• 1644-1648 De Sève

• 1648 De Ligny

• 1649-1653 Charles Pinon, vicomte de Quincey

• 1653 Étienne Foule, sieur de Brunereau

• 1654-1655 Daniel Voysin

• 1658-1660 François de Verthamon

• 1660-1662 Joseph-Antoine Le Febvre de La Barre

• 1662-1663 Jean-Paul de Choisy

• 1663-1664 Auguste-Robert de Pommereu 1630-1702

• 1664-1665 Charle Le Jay, baron de Tilly et de La Maison-Rouge

• 1664-1669 Bernard de Fortia 1623-1694

• 1669-1672 Jean Le Camus 1637-1710

• 1672-1682 Bernard-Hector de Marle mort en 1694

• 1682-1684 Anne Louis Jules de Malon de Bercy 1643-1706

• 1684-1685 Urbain Le Goux de la Berchère 1643-1721

• 1685-1687 Pierre de Bérulle 1641-1723

• 1687-1692 Jean-Baptiste Desmarets de Vaubourg 1655-1740

• 1692-1695 Gilles de Maupeou v. 1650-1727

• 1695-1703 Antoine-François de Paule Le Fèvre d'Ormesson 1651-1712

• 1704-1708 Claude Le Blanc 1669-1728

• 1708-1714 Marc-Antoine Turgot 1668-1748

• 1714-1717 Louis-Claude Béchameil de Nointel 1682-1761

• 1717-1720 Claude Boucher 1673-1752

• 1720-1723 Gilles Brunet d'Évry 1683-1762

• 1723-1730 Julien-Louis Bidé de la Granville 1688-1760

• 1730-1734 Daniel-Charles Trudaine (Louis Fagon subdélégué ?) 1703-1769

• 1734-1740 Bonaventure-Robert Rossignol 1697-1754

• 1750-1752 François-Marie Peirenc de Moras 1718-1771

• 1753-1757 Jean-Baptiste-François de La Michodière 1720-1797

• 1758-1767 Siméon-Charles-Sébastien Bernard de Ballainvilliers 1721-1767

• 1767-1773 Jean-Baptiste de Montyon 1733-1820

• 1774-1789 Charles-Antoine-Claude de Chazerat 1728-1824

Sources : Wikipédia

Jean-Baptiste Massillon, né le 24 juin 1663 à Hyères et mort le 28 septembre 1742 à Beauregard-l'Évêque, est un homme d'Église français, évêque de Clermont en Auvergne.

Source & photo : Wikipédia

Sous l'Ancien Régime, on désignait par états généraux les assemblées exceptionnelles convoquées par le roi de France pour traiter d'une crise politique, en général une guerre ou une question diplomatique et décider d'une aide militaire ou fiscale. Véritables assemblées des représentants des peuples du royaume, fondées sur le principe fondamental selon lequel ils ne sont pas des peuples tributaires, mais libres, et qu'aucune contribution ne peut être exigée d'eux sans leur consentement, elles n'avaient aucun rôle législatif ou juridictionnel comme les parlements et ne doivent pas être confondues avec eux.

Institution créée en 1302 par le roi Philippe le Bel pour donner une apparente légitimité à ses décisions en réaction contre la bulle Ausculta fili. Ils réunissaient au début le clergé, la noblesse et la bourgeoisie des bonnes villes. Jusqu'en 1484 ils étaient réunis de manière distincte par région de Langue d'oïl ou de langue d'oc.

Ils se réunirent jusqu'en 1789 sur une période de 487 ans. Les derniers, convoqués en mai 1789 par Louis XVI pour résoudre la crise financière due aux dettes de l'État, évoluèrent, suite au Serment du Jeu de paume et à la réunion des trois ordres le 27 juin en une Assemblée nationale constituante qui décida de rédiger une constitution écrite, ce qui fut le commencement de la Révolution française.

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Le fief était durant l'époque féodale une tenure concédée à un vassal, à la charge de la foi et hommage et, éventuellement, de quelques autres devoirs envers son seigneur. Cette pratique s'est développée au Moyen Âge suite à l'éclatement de l'Empire carolingien, et a ensuite présidé à l'établissement d'une aristocratie foncière.

Le mot, sans doute d'origine germanique (vieh, bétail, bien d'importance), est apparu dans le Midi à la fin du IXe siècle (fevum), avec peut-être une confusion avec le mot fiscum (qui désigne à l'époque carolingienne les grands domaines royaux), et une filiation avec beneficium, ce qui évoquerait l'origine « publique » du fief méridional (le beneficium désigne la concession d'une terre fiscale par un agent public en échange de services publics). Il s'étend ensuite aux autres formes de concessions vassaliques et se substitue au mot bénéfice.

Sources : Wikipédia